Certaines personnes développent un léger excès de pilosité naturelle sans pour autant que cela soit considéré comme anormal. L’hypertrichose se distingue de la pilosité naturellement abondante par son caractère pathologique. Elle peut être localisée, généralisée ou être associée à des signes de masculinisation chez la femme : on parle alors de virilisme.
Quel est le rôle des poils chez l'homme et la femme ?
La quasi-totalité de la surface de la peau, à l'exception des paumes des mains et des plantes des pieds, est recouverte de poils. Leur densité, leur taille et leur couleur varient selon les zones du corps et sont influencées par les hormones sexuelles, ce qui explique les différences de pilosité entre les hommes et les femmes. Certains poils, très fins et presque invisibles, assurent une fonction protectrice, tandis que d'autres, plus épais, jouent un rôle dans la thermorégulation en aidant le corps à conserver la chaleur. Ce phénomène, observé notamment lors de la « chair de poule », illustre l’importance physiologique des poils.
Chaque poil est associé à un follicule pilo-sébacé comprenant une glande sébacée, qui sécrète le sébum pour hydrater et protéger la peau. Une production excessive de sébum peut néanmoins entraîner des désagréments, comme l'acné. Les poils contribuent également à l’évacuation de la sueur grâce aux glandes sudoripares situées dans la couche profonde de la peau.
Parfois, la pilosité devient excessive et envahit des zones inhabituelles du corps. Cette hyperpilosité devient la source d'inconforts physiques et esthétiques, notamment chez les femmes. On parle alors d'hypertrichose.
Evolution de la pilosité des femmes au cours du temps
Chez la femme, la pilosité est largement influencée par les variations hormonales au cours de la vie. Les hormones sexuelles, en particulier les œstrogènes et les androgènes, jouent un rôle central dans la croissance des poils, leur densité et leur localisation corporelle.
Contrairement aux hommes, dont les poils couvrent des zones étendues comme le visage, le torse et le dos sous l’effet de niveaux élevés de testostérone, les femmes ont une pilosité plus localisée, principalement limitée aux aisselles, au pubis et à des poils fins sur le reste du corps. Les changements hormonaux liés à l'âge entraînent toutefois des modifications significatives de la pilosité féminine.
Période prépubère
Avant la puberté, la pilosité chez les filles est composée de poils très fins et clairs appelés duvet. Ces poils couvrent la majeure partie du corps, mais leur rôle reste essentiellement protecteur. À cet âge, l’activité hormonale est faible, ce qui limite la production de poils épais ou pigmentés.
Puberté
La puberté marque une transformation importante de la pilosité chez les femmes. Sous l’effet des hormones androgènes, des poils plus épais et pigmentés apparaissent dans des zones spécifiques du corps, comme les aisselles et la région pubienne. Contrairement à l'homme, la pilosité faciale et corporelle reste généralement limitée, sauf en cas de déséquilibre hormonal.
Post-puberté et ménopause
Après la ménopause, les changements hormonaux, notamment la diminution des taux d'œstrogènes et la prédominance relative des androgènes, peuvent entraîner une modification de la pilosité. Certaines femmes constatent une réduction de la densité des poils sur les jambes ou les bras, mais une augmentation de poils épais dans des zones inhabituelles comme le menton ou la lèvre supérieure. On parle d'hyperpilosité localisée.
✍️ La femme produit environ 20 fois moins d'hormones androgènes que l'homme durant la puberté, ce qui explique l'absence de pilosité dans les zones pileuses masculines comme le torse, les cuisses ou les épaules.
Hypertrichose : définition
L’hypertrichose est une maladie rare caractérisée par une croissance anormale et excessive de poils sur des zones du corps où la pilosité est habituellement absente ou limitée. Cette pathologie se distingue de la pilosité naturellement abondante par son caractère disproportionné et parfois invalidant. L’hypertrichose peut être présente dès la naissance (forme congénitale) ou se développer au cours de la vie (forme acquise). Elle résulte fréquemment d'anomalies génétiques, de déséquilibres hormonaux, de pathologies systémiques ou d'effets indésirables liés à certains traitements médicamenteux.
Contrairement aux variations de pilosité influencées par des facteurs génétiques ou ethniques, l’hypertrichose reflète un déséquilibre médical réel nécessitant une prise en charge appropriée. Elle touche aussi bien les hommes que les femmes, mais son expression et son impact diffèrent en fonction du sexe et du contexte socioculturel.
Hypertrichose simple, hirsutisme ou virilisme : quelles différences ?
L'hyperpilosité peut être classée en différents stades selon le degré de pilosité observé chez le patient, la localisation des poils et l'apparition de certains signes cliniques spécifiques.
Hypertrichose simple ou pilosité abondante : une forme bégnine du trouble
L’hypertrichose simple désigne un développement excessif de poil, localisé ou généralisé, sans distinction entre les sexes et sans lien avec un déséquilibre hormonal ou une maladie. Cette hyperpilosité concerne des régions déjà pileuses chez la femme. Les poils apparaissent souvent plus denses, longs et parfois plus pigmentés. Les causes peuvent être :
- Congénitales : anomalies génétiques rares comme l’hypertrichose congénitale lanuginosa, où les nouveaux-nés conservent un duvet dense et persistant.
- Acquises : effets secondaires de médicaments (minoxidil, corticostéroïdes)
Contrairement à l’hirsutisme et au virilisme, l’hypertrichose n’est pas liée à un excès d'hormones androgènes.
Hirsutisme : quand les poils envahissent les zones glabres
L’hirsutisme est une forme spécifique de pilosité excessive chez la femme, qui se manifeste par l’apparition de poils épais et drus dans des zones dites masculines, normalement glabres chez la femme. On peut notamment citer le menton, la poitrine, le dos ou l'abdomen. L'hirsutisme est étroitement lié à une surproduction d'hormones mâles (testostérone) par les ovaires ou les glandes surrénales.
Virilisme : une androgénisation du corps de la femme
Le virilisme représente un stade avancé de l’hirsutisme, défini par des signes de masculinisation du corps féminin. En plus d’une pilosité excessive des zones pileuses masculines, d’autres signes cliniques apparaissent, comme :
- Une voix plus grave.
- Une augmentation de la masse musculaire.
- Une calvitie ou alopécie des tempes
- Une diminution de la taille des seins (atrophie mammaire)
- Une hypertrophie clitoridienne
- Des troubles de l'ovulation
Le virilisme est généralement causé par une hyperandrogénie sévère, souvent due à :
- Tumeurs des glandes surrénales ou des ovaires.
- Syndrome de Cushing ou autres troubles endocriniens graves.
- Usage de stéroïdes anabolisants ou autres substances dopantes.
Quelles sont les causes connues de l'hyperpilosité ?
L'hypertrichose est souvent liée à une surproduction d'androgènes par les glandes surrénales ou les ovaires. Dans certain cas, des médicaments sont en cause. Aucune cause spécifique n'est déterminée la plupart du temps.
Hypertrichose d’origine ovarienne
Les ovaires jouent un rôle central dans la production des hormones sexuelles et certains déséquilibres peuvent être à l'origine d'une hypertrichose.
On peut notamment citer le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) qui touche environ 5% des femmes. Ce syndrome se manifeste généralement par la formation de petits follicules de faibles diamètres visibles à l'échographie, sans kyste ou follicule dominant. Une infertilité est fréquente, souvent due à une absence/raréfaction de l'ovulation et des menstruations (aménorrhée). De même qu'une élévation du taux d'hormones mâles, responsable d'un excès de pilosité et d'autres manifestations physiques (acné par exemple).
Certaines tumeurs ovariennes rares, dites virilisantes, sont impliquées dans la production en excès d'androgènes. Elles provoquent notamment :
- Hirsutisme avec signes de virilisation
- Aménorrhée
- Excès de testostérone
Hypertrichose surrénalienne
L’hyperplasie congénitale des surrénales (HCS) est une affection génétique rare qui influence directement la production d’hormones par les glandes surrénales. Elle est causée par un déficit enzymatique, le plus souvent au niveau de la 21-hydroxylase, à l'origine d'une surproduction d’androgènes (hormones masculines).
Ce déséquilibre hormonal provoque divers symptômes, parmi lesquels l'hypertrichose. Chez les filles, cette affection peut également causer un hirsutisme marqué, caractérisé par des poils épais et pigmentés dans des zones typiquement masculines (visage, thorax, dos). D’autres manifestations incluent des anomalies génitales à la naissance chez les nouveau-nés de sexe féminin (virilisation), une puberté précoce, une accélération de la croissance suivie d'un retard de croissance à l'âge adulte , et des troubles liés à un déséquilibre en cortisol et en aldostérone
Dans de rares cas, des tumeurs virilisantes surrénales sont découvertes : elles engendrent un excès de pilosité et une virilisation rapide du corps de la femme.
⚠️Le diagnostic d'hyperplasie congénitale surrénale peut être posé dès la naissance chez les filles, en présence d'une virilisation des organes génitaux externes. Le sexe de l'enfant devient alors difficile à déterminer ce qui oriente les professionnels de santé vers la maladie.
Impact des médicaments sur la pilosité
Certains traitements médicamenteux peuvent contribuer au développement de l’hirsutisme. On peut citer les médicaments contenant des hormones androgènes, comme certains stéroïdes anabolisants, ou ceux stimulant la production de ces hormones. Par ailleurs, des traitements comme la danazol (utilisé pour traiter l’endométriose) ou des corticoïdes à fortes doses peuvent perturber l’équilibre hormonal et favoriser ce phénomène.
Hirsutisme idiopathique : quand aucune cause n'est identifiée
Dans la majorité des cas, les causes de l’hirsutisme restent inexpliquées. On parle d'hirsutisme idiopathique. Il peut être influencé par des facteurs génétiques ou une sensibilité accrue des follicules pileux aux androgènes.
Bien que des examens puissent exclure des troubles comme le syndrome des ovaires polykystiques ou des désordres hormonaux, aucune cause précise n’est déterminée dans de nombreux cas.
Diagnostic de l'hypertrichose : quand consulter ?
En cas d'hyperpilosité simple ou abondante
L'apparition d'un duvet dans des zones pileuses chez la femme ne constitue pas un motif réel de consultation. Cependant, si vous constatez que cette hypertrichose est conséquente à la prise d'un médicament (corticostéroïdes) ou à un surpoids, n'hésitez pas à en parler à votre médecin traitant. Le traitement médicamenteux en question pourra être changé, et des mesures hygiéno-diététiques vous aideront à freiner la production d'androgènes responsables de l'excès de pilosité.
En cas de pilosité dans les zones dites masculines
Si vous constatez que des poils ont poussé dans des zones normalement glabres (exemptes de poils), alors une consultation s'impose. Vous êtes libre de consulter votre médecin généraliste, un dermatologue ou bien un endocrinologue.
Le professionnel de santé procèdera à un examen des zones concernées et pourra vous questionner sur la date d'apparition de la pilosité, vos antécédents familiaux, la nature de vos traitements médicamenteux ou encore l'existence d'autres signes cliniques (irrégularité de vos règles, infertilité).
Si un excès de pilosité suspect est observé, son importance sera évaluée via le score de Ferriman et Gallwey. Le médecin évaluera la densité de la pilosité dans 9 zones du corps sensibles aux androgènes. Chaque zone sera notée de 0 (absence de poils) à 4 (pilosité abondante). Le score total obtenu permettra de catégoriser votre hirsutisme selon 3 degrés :
- Léger : score compris entre 8 et 15.
- Modéré : score compris entre 16 et 25.
- Sévère : score supérieur à 25.
Un score supérieur à 8 est généralement considéré comme un signe d’hirsutisme et nécessite un bilan médical complet.
Examens complémentaires pour déterminer la cause de l'hirsutisme
En cas d’hirsutisme, plusieurs examens médicaux peuvent être réalisés pour déterminer la cause sous-jacente et guider la prise en charge.
- Un bilan hormonal permet de mesurer les taux de testostérone, d’androstènedione et de DHEA-S dans le sang, afin de rechercher un excès d’androgènes, tandis que le dosage de la 17-hydroxyprogestérone aide à diagnostiquer une éventuelle hyperplasie congénitale des surrénales.
- Une exploration des ovaires et glandes surrénales est réalisée par échographie-pelvienne pour détecter toute masse ou kyste.
- Un scanner ou une IRM des surrénales est réalisé en cas de suspicion de tumeurs sécrétantes.
- Enfin, un bilan métabolique peut identifier des anomalies liées à une résistance à l’insuline ou un syndrome métabolique, souvent associés au SOPK.
Ces investigations permettent généralement de confirmer le diagnostic et de déterminer la meilleure approche thérapeutique.
Soigner l'hypertrichose : des traitements qui varient selon les causes identifiées
Le traitement de l’hypertrichose dépend de sa localisation, de son étendue et des son origine pathologique.
Rasage ou épilation pour le formes d'hypertrichose simple
Lorsque l'hypertrichose est localisée, les méthodes mécaniques ou esthétiques suffisent généralement.
✔️ Le rasage reste une option simple et rapide, mais son effet est très temporaire, car les poils repoussent en quelques jours.
✔️L’épilation à la cire ou électrique, bien que plus douloureuse, garantit des résultats plus durables : elle vient arracher les poils directement à la racine.
✔️ Les crèmes dépilatoires, qui dissolvent la kératine des poils, sont une autre alternative indolore, mais elles nécessitent une application régulière en raison de leur courte durée d’action.
Pour une prise en charge plus durable, l’épilation au laser ou à la lumière pulsée peut être envisagée. Ces techniques utilisent la lumière pour cibler la mélanine des poils et détruire les follicules. Elles sont particulièrement efficaces sur les poils foncés et les peaux claires, mais leur efficacité est réduite pour les poils blonds, roux ou blancs. Plusieurs séances sont nécessaires pour un résultat satisfaisant, et le coût de ces traitements peut représenter un frein pour certains patients.
Hyperpilosité généralisée : arrêt des médicaments ou prise en charge des maladies impliquées
Traiter les formes généralisées d'hypertrichose passe par l'identification de la cause à l'origine du dérèglement.
✔️ Des molécules comme la phénytoïne ou le minoxidil peuvent provoquer une hypertrichose. Dans ces situations, la modification ou l’arrêt du traitement , en accord avec le médecin prescripteur, peut suffire à réduire la pilosité.
✔️ Lorsque l'hyperpilosité est symptomatique d'une maladie, comme un trouble métabolique ou une pathologie paranéoplasique, le traitement de cette maladie permet généralement de réguler l'excès de poils.
✔️ Parfois, un traitement topique comme l’eflornithine peuvent être appliqués sur la peau du patient. Ce médicament ralentit le développement des poils en inhibant une enzyme essentielle à leur croissance. Il est particulièrement adapté aux zones visibles comme le visage, mais son effet est progressif et disparaît à l’arrêt du traitement.
Hypertrichose congénitale : l'épilation laser comme solution en l'absence de traitement curatif
Il n'existe aucun traitement curatif de l'hypertrichose congénitale généralisée. Les approches thérapeutiques restent principalement esthétiques, et reposent sur l’épilation laser. En parallèle, un soutien psychologique est souvent nécessaire pour aider les patients à surmonter l’impact social et émotionnel de la maladie, en particulier lorsque la pilosité affecte leur qualité de vie.
Cet article médical a été relu et validé par un médecin spécialiste en dermatologie au sein d’un établissement ELSAN, groupe leader de l’hospitalisation privée en France. Il a un but uniquement informatif et ne se substitue en aucun cas à l’avis de votre médecin, seul habilité à poser un diagnostic.
Pour obtenir un diagnostic médical précis et correspondant à votre cas personnel ou en savoir davantage sur votre pathologie, nous vous rappelons qu’il est indispensable de consulter un médecin.
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Vos questions les plus fréquentes
Quels sont les symptômes de l'hypertrichose ?
L'hypertrichose est caractérisée par une pilosité excessive diffuse sur tout le corps (généralisée) ou localisée. Les poils peuvent être épais ou longs, et apparaissent parfois dans des zones habituellement glabres (front, dos, épaules). Cette pilosité peut être isolée ou associée à d’autres signes cliniques si une pathologie est impliquée, comme des troubles endocriniens.
Quelles sont les causes de la barbe chez la femme ?
L'apparition de poils de barbe chez la femme est le plus souvent due à un hirsutisme, causé par un excès d’androgènes. Ce dérèglement hormonal peut avoir plusieurs causes. Il peut être associé à un syndrome des ovaires polykystiques (SOPK), des troubles surrénaliens (hyperplasie congénitale, tumeur), ou encore à la prise de médicaments androgéniques. Une sensibilité accrue des follicules pileux aux androgènes peut également être en cause dans les formes idiopathiques du trouble.
Quel médicament augmente la pilosité ?
Certains médicaments stimulent la pilosité, comme la minoxidil (utilisé pour traiter la calvitie et l’hypertension), la phénytoïne (antiépileptique), les corticoïdes (surtout en cas de long traitement), la ciclosporine (immunosuppresseur), ou les androgènes (comme la testostérone). Leurs effets dépendent de la dose de médicament ingérée, de la durée du traitement et de la réponse de chaque individu.
Pathologies associées à la dermatologie
- Acné kystique
- Alopécie
- Bouton de fièvre
- Dermatite atopique
- Dermite séborrhéique
- Dermatophytes
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